
« À en juger par le bruit , la chose venait du côté de la montagne et même elle était déjà dans le bourg […] ; les maisons fumaient de poussière comme si elles s’écroulaient dans leurs gravats. [...]
Le troupeau coule avec son bruit d’eau, il coule à route pleine ; de chaque côté il frotte contre les maisons et les murs des jardins. »
[/Le grand troupeau.- Jean GIONO/]
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[/Sandy ANDRIANT/]