Les quelques lignes consacrées au livre de comptes tenu par Justin Arnaud pendant les années 1920 (cf. le n° 44 du Trepoun) ont trouvé un écho et Lucien Ghisalberti m’a montré des photos que Jean Mottet, gendre du Justin, lui avait données. Six magnifiques clichés, évocation fidèle du travail de forgeron, de maréchal-ferrant, de constructeurs de roues que l’Arnaud, aidé dans cette dernière tâche par le Victorin, assurait avec la dextérité des hommes de l’art.
Elles ne nécessitent pas d’autres commentaires que ceux apportés par Jean-François Charrol dans son article, intitulé « lou maneschau » et publié dans le Trepoun n°22 – 1997, où il nous peignait avec beaucoup d’affection la personnalité attachante de cet artisan.